Voyage en Espagne - Andalousie   février 2003


 




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Dernière mise à jour : 9 mars 2003


Vendredi, 7 février

Aujourd’hui, c’est le grand départ.  On termine les valises, on boucle le tout et hop direction pour Dorval à 13 h. 30.  L’avion décolle à 17 h. 10 mais il faut être là trois heures à l’avance.  Il fait –9 degrés et le soleil est resplendissant.  Nous arrivons donc à Dorval vers 14 heures.   Il y a déjà file chez Swiss Air.  Nous enregistrons nos valises et prenons notre carte d’embarquement.  L’attente commence.  Nous ne passons pas  tout de suite à l’inspection des bagages à main et allons nous réfugier pour lire à l’endroit réservé pour les passagers de la classe affaire et première classe.  Nous passons la sécurité vers 16 heures après avoir payé la taxe d’aéroport de 15,00$ chacun et nous embarquons, tel que prévu, vers 16 h. 30.  L’airbus est plein.  Nous sommes près du hublot, juste au-dessus de l’aile.  C’est une place de choix car on y sent moins la turbulence.  Ma voisine de siège m’apprend qu’on a dû laisser des passagers à Dorval.  On avait fait un overbook, i.e. qu’on avait vendu plus de billets que de places disponibles pour s’assurer que tous les sièges soient occupés.  C’est une pratique fréquente chez les compagnies aériennes.  Il y a pertes chez plusieurs d’entre elles.  Heureusement Lise, notre agente de voyage, avait réservé nos places.  Nous partons donc à l’heure prévue.

Samedi, 8 février

Le vol se passe bien sans trop de turbulence.  Nous arrivons à l’heure prévue de 6 h. 20 (à notre heure, il est minuit 20).  Nous n’avons dormi que 1 h. 30.  On a fermé les lumières de l’avion vers 20 heures et on nous a réveillés vers 22 heures.  La nuit est courte. On descend donc à Zurich pour une attente de 4 heures avant de prendre un deuxième vol en direction de Malaga/Espagne.  Nous ne sortons pas de la zone de transit et attendons avec un autre couple de Chicoutimi qui prend le même vol que nous.  Nous prenons donc place à la porte d’embarquement et attendons sagement que les heures passent.  Vers 21 h 30, Jacques veut s’assurer de notre départ lorsqu’il apprend qu’on a changé le numéro de porte à notre insu.  Nous nous dépêchons donc d’atteindre la porte d’embarquement à l’heure voulue.  Nous partons finalement avec une heure de retard i.e. vers 11 h 20.  Nous arrivons à Malaga à 14 heures.  Le pilote nous dit qu’il fait 17 degrés à Malaga et que c’est nuageux.  Un taxi nous attend et nous reconduit à l’hôtel Agua Marina , notre hôtel.  On nous donne l’appartement 505.  On s’y installe.  C’est un appartement convenable mais moins grand et moins luxueux que celui que l’an dernier.  Il a fallu choisir entre proximité des activités et le confort.  Le sommeil se fait sentir.  Nous faisons donc la sieste pendant une heure, puis, nous allons faire le marché..  En arrivant au marché d’alimentation, nous apercevons Mado et André Couture (des amis de St-Bruno).  Ils sont là depuis une dizaine de jours.  Nous nous serrons donc la pince avant d’aller faire notre marché.  Nous apprenons de nouveaux mots en espagnol comme platanos que veut dire bananes, manzana pour pomme et ciruela pour pruneaux.  En revenant, nos amis de St-Bruno nous invitent à aller manger à leur appartement  Nous décidons donc d’aller à la messe dominicale du lendemain.  Il paraît que le curé y fait toute une performance.  Donc, rendez-vous à 11 heures pour la messe.  Nous revenons à l’appartement pour nous coucher vers 21 heures.  Notre Appartement

Dimanche, 9 février

Après un sommeil réparateur de 12 heures, nous nous réveillons frais et dispos pour la journée.  Nous allons au rendez-vous de Mado et André.  Nous assistons à la messe de 11 heures.  Nous ne comprenons rien à ce que le prêtre dit, mais, nous voyons que le prêtre est expressif.  La foule participe.  On chante, on prie.  Mado, qui a pris des cours d’espagnol, comprend que le curé fait prier la foule contre la guerre.  Après la messe, André veut nous montrer un nouveau café internet.  Chemin faisant, il veut qu’on regarde sa trouvaille.  Un petit scooter à pile électrique qu’on vend pour 99,99 euros.  Il peut transporter 120 kilos et pèse 27 kilos.  Nous voulons nous informer de son autonomie mais la vendeuse ne parle que l’espagnol.  Le café internet nous plaît et ce sera notre nouvel endroit pour communiquer avec vous.  Nous continuons notre chemin sur la promenade qui longe la mer  La journée est ensoleillée mais c’est venteux.  Il fait 18 degrés.  C’est quand même assez chaud pour prendre le repas du midi sur une terrasse.  Les tapas et le vin sont bons.  Nous revenons à notre appartement vers 16 heures.  André et Mado nous quittent.  Nous faisons la sieste.  Les effets du décalage horaire ne sont pas encore partis.  Souper à l’appartement.  Nous regardons nos photos.  Je rédige le journal pour le transférer sur le site demain dans la journée. Nous surveillons le journal télévisé et nous apprenons que l’Irak consent à avoir plus d’inspection de la part des inspecteurs de l’ONU.

Lundi, 10 février

Ce matin nous nous levons pour voir le magnifique lever du soleil sur la Méditerranée.  Ici le soleil se lève à 8 heures et nous avons tendance à nous lever plus tard.  Aujourd'hui nous avons comme projet de mettre à jour notre site internet.  Petits pépins! Le programme Word n'est pas installé sur chaque ordinateur et parfois nous ne pouvons ouvrir Windows Explorer.  Jacques réussit à contourner ces petits problèmes.  Il fait 19 degrés aujourd'hui.  Le soleil part et revient.  Nous prenons le repas du midi sur le balcon de notre appartement.  La Méditerranée est toute bleue.  Puis nous allons prendre une longue marche sur le bord de la mer.  Nous remarquons qu'il y a moins de touristes cette année.  On entend parler des québécois.  Il y en  a plusieurs ici.  Après le souper nous allons assister à un spectacle de danse.  Mado et André sont avec nous.  Les costumes sont beaux, les filles ont des tenues légères.  Ce n'est pas un strip tease, loin de là mais c'est amusant à regarder et la musique est entraînante.  Nous revenons sagement au logis.

Mardi, 11 février

On nous annonce une journée assez fraîche aujourd'hui mais nous constatons, à notre grande joie, que ce n'est pas si mal. C'est 20 degrés à notre thermomètre.  Aujourd'hui je vais faire du shopping et je m'achète deux paires de chaussures.  Après notre visite à notre site internet, nous décidons d'entrer en communication avec des gens de Bénalmadéna.  Ce sont nos bons amis de Drummondville qui avaient connu ces personnes lors de leur voyage pendant les vacances de Noël.  Nous décidons donc de prendre l'autobus.  Nous constatons que le service est le même que l'an passé.  Nous attendons un bon 20 minutes.  L'autobus est bondé.  Nous arrivons finalement au rendez-vous.  Ce fut vraiment charmant.  On nous a fait manger le gâteau de Malaga, une spécialité de la région.  C'est vraiment délicieux et tout ça arrosé de bon vin.  Sympathiques ces gens.  Nous sommes revenus vers 20 heures.  Nous avons réussi à rejoindre notre fils Nicolas à Londres qui revient d'un voyage en Chine.  Il y est allé avec Jing pour fêter le Nouvel An chinois.  Il est bien content de ce voyage.  Il a pris plusieurs photos.  Il a même été interviewé par la télévision chinoise qui ont vus Jing et Nicolas déambuler dans les rues de la ville d'origine de Jing dont je ne sais pas le nom.  Ce fut toute une expérience.

Mercredi, 12 février

Quelle journée!  On avait prévu d'aller à Benalmadena Costa, plus précisément au port.  Nous l'avons fait à pied en longeant la promenade de la mer.  C'était frais et venteux.  Le mercure de la San Miguel indiquait 17 degrés.  Ce qui est en dessous des normales.  J'ai un petit appareil que je mets à la ceinture et qui s'appelle un podomètre.  Nous avons marché plus de 10 kilomètres et mon petit instrument indiquait que nous avions dépensé  628 calories.  J'ai dû manger du chocolat pour remédier à la chose.  Ici le chocolat est très bon.  Je préfère le chocolat noir aux amandes et je fête la St-Valentin depuis mon arrivée en Espagne.  La marina est remplie de bateaux plus beaux les uns que les autres.  Certains sont en réparation pour la belle saison.  Nous sommes revenus fatigués et nous avons dû faire une sieste avant le repas du soir.  Photos de Torremolinos

Jeudi, 13 février

Aujourd'hui nous avons changé nos plans.  Nous devions aller à Malaga et nous avions ciblé les endroits à visiter mais nous avons fait autrement.  Nous avons pris le beat de l'Andalousie i.e. que nous pouvons toujours remettre à demain ce que nous pouvons faire aujourd'hui. Jacques a donc décidé de travailler sur le site et d'y mettre des photos qu'il a prises avec sa caméra numérique.  Pour moi, je voulais lire.  Nous avons donc pris notre repas du midi sur le balcon et nous avons dégusté des fraises locales.  Pour nous au Québec c'est en juin et ici c'est en février.  Nous n'avons pas oublié le bon vin espagnol que nous dégustons à chaque jour.  Donc pendant que Jacques travaillait sur le site à partir de notre portable que nous avons apporté,  je suis allée sur le toit de l'hôtel qui nous sert de terrasse.  Il faisait un beau soleil et 22 degrés.  Ce n'était pas très chaud mais assez bien pour lire.  Après le souper nous sommes allés réserver des excursions.  On a pu n'en réserver qu'une.  On dit que cette année il n'y a pas beaucoup de réservation.  Ce doit être à cause du taux de change de l'euro.  De plus la température est plus fraîche que l'an passé.  Les terrasses sont peu fréquentées et la San Miguel (rue piétonnière avec restaurants et magasins) n'y échappe pas. C'est quand même agréable et nous nous y plaisons bien.

Vendredi, 14 février

Encore une belle journée en perspective.  De plus c'est la St-Valentin.  Nous prenons une longue marche sur le bord de la mer et mon chum m'achète ma fleur préférée, une rose.  Trève d'épanchements.  En prenant notre marche, nous remarquons que les espagnols affichent leur opinion contre la guerre.  On peut lire sur des bicyclettes NO WAR.  De plus on annonce, que demain, qu'il y aura plusieurs manifestations contre la guerre dans les grandes villes européennes.  On s'attend qu'il y ait plus d'un million d'espagnols dans la rue.  Dans l'après-midi, nous avons regardé l'émission spéciale sur TV5 au sujet de la remise du rapport à l'ONU par l'inspecteur Blix.  Il fallait voir certains dirigeants... je me passe de commentaires.
Revenons à la fête du jour.  Nous sommes allés prendre l'apéro avec deux couples : Mado et André de St-Bruno et Germain et Francine de St-Hyacinthe.  Puis nous sommes allés souper dans un restaurant italien.  Tout fut bien arrosé et joyeux. Notre clown, André, nous a fait bien rire.

Samedi, 15 février

Ce matin, longue marche sur la promenade longeant la Méditerranée.  Il est 9 h. 30 et c’est déjà le rendez-vous de plusieurs.  Quelques-uns font du jogging, d’autres marchent en faisant la causette.  Certains font de la marche rapide et c’est ce que nous essayons de faire.  Des gitans nous abordent et nous offrent des fleurs.  On les reconnaît à leur peau plus foncée, leur longue jupe et leurs bracelets.  Des vrais Francine Grimaldi.  C’est en fait un peu ça sauf le turban.  On rencontre des espagnols qui sont habillés en hiver.  Ce matin, la météo avait annoncé de la pluie et, comme par magie,  le mauvais temps est parti plus au Nord.  Il fait à peine 20 degrés.  Oui ! Oui !  Je vais arrêter de me plaindre car je sais que présentement, au Québec, vous avez du – 33.  Le soleil finit par se montrer le bout du nez.  Après cette marche, nous bifurquons notre café internet.  Nous faisons une mise à jour de notre site et prenons connaissance de notre courrier.  Nous revenons au bercail pour un petit dîner sur la terrasse.  Puis, nous faisons la sieste comme les Espagnols.  Nous repartons encore une fois marcher avant le souper.  Ce soir, nous voulons voir les informations à la télé.  On voit qu’il y a eu plusieurs manifestations contre la guerre.  À Rome il y avait 3 millions de manifestants, à Londres 1 million de manifestants.  Ici, en Espagne, on nous montrait les manifestations.  Notre fils Nicolas, qui vit à Londres, a pris des photos des manifestants et c’était impressionnant de voir toute cette foule.  Voilà pour la journée.  Nous savons, que demain, ce sera beau.  Du moins, c’est ce qu’on nous annonce.  Autres photos de la promenade.

Dimanche, 16 février

Quelle belle journée !  Le soleil est radieux !  Il fait assez chaud pour que je sorte mes sandales et ma jupe courte.  Nous marchons une bonne heure sur la promenade.  Il est 9 heures.  Le vent est presque absent.  Il faut faire attention pour ne pas marcher sur de la merde de chien.  Chaque rose a ses épines !!!  Il y a aussi les chats qui se promènent parmi les marcheurs.  Il y en a une quantité assez impressionnante.  J’ai vu des enfants les nourrir avec de la nourriture sèche pour chats.  Il fait 25 degrés.  Nous décidons d’aller manger des churros.  Ce sont des bâtons de pâte à crêpes frits et saupoudrés de sucre que nous dégustons trempés dans le traditionnel chocolat chaud épais.   Je dis à Jacques qu’il va ramener une toutoune à la maison le 8 mars prochain.  C’est un péché de gourmandise que je vous recommande de faire si vous venez en Espagne.  Nous prenons des photos. Nous retournons à l’hôtel.  En après-midi, je monte sur le toit de l’hôtel, qui sert de terrasse aux clients, pour prendre une petite demi-heure de soleil.  Ne craignez rien, j’ai utilisé de la crème solaire. Pendant ce temps, Jacques essaie toujours de comprendre pourquoi le site internet ne prend pas ses photos.  Nous parlons à Nicolas à Londres ainsi qu’à Martin à Montréal.  Ce dernier nous dit qu’il fait –25.  Il a participé à la manif contre la guerre hier et il y avait de 150 000 à 200 000 manifestants.  Vers 16 heures, le soleil est bien là, mais, la température chute.  Nous rentrons et prenons un petit souper à l’intérieur.  Une petite soirée de télé à regarder TV5 et CNN.

Lundi, 17 février

Aujourd’hui nous nous levons plus tôt, car nous faisons une excursion à Alora avec Mado et André. Il fait beau ce matin et c’est ensoleillé.  Nous décidons quand même d’apporter des vêtements plus chauds car cette petite ville est en altitude.  Alora a une population de  11 000 habitants et est à 50 km de Torremolinos.  Ce sera la première fois que nous prenons le train en Espagne.  La gare est tout près et nous pouvons le faire à pied.  Nous découvrons que le train est vraiment confortable et silencieux.  Ce matin le train est bondé et nous devons faire le parcours Torremolinos /Malaga debout.  Nous changeons de train en direction d’Alora et cette fois nous pouvons nous asseoir.  Tout le long du parcours, nous remarquons des plantations de citronniers et d’orangers et ça à perte de vue.  À part nous quatre, il y a un petit groupe de touristes anglais d’une dizaine de personnes.  En arrivant à Alora, nous devons prendre un bus pour nous faire accéder à la ville avec ses maisons toutes blanches.  Nous décidons de marcher jusqu’au marché en plein air.  Nous achetons des fraises, des dattes et des pralines (noix enrobées de sucre).  Toutes ces gâteries sont produites localement.  Puis, nous nous dirigeons vers un château arabe qui doit dater de l’invasion des Maures  qui se situe à environ vers l’an 750.  Le château est au faîte de la colline et le chemin est escarpé.  Tout autour nous pouvons voir un paysage de montagnes.  Nous sentons l’isolement car nous ne voyons pas d’autres agglomérations au loin.  Le château est en ruines mais il abrite un cimetière d’urnes funéraires.  Toutes ces urnes sont disposées dans un mur et incrusté dans celui-ci.  Tout est fleuri.  Nous prenons plusieurs photos, que nous espérons mettre sur le site.  En Espagne les cimetières sont tous comme ça.  Comme le sol arable est réservé pour les cultures et qu’il est assez rare, on doit incinérer les morts.  La majeure partie des terres est faite de montagnes. Après cette visite, nous revenons au centre-ville pour prendre le repas du midi.  Nous nous arrêtons dans un petit restaurant où nous pouvons manger.  Nous nous régalons de tapas à .50 euro.  Nous buvons du bon vin rouge.  Tout ça pour 12 euros ( 20 dollars canadien) pour les quatre.   Ici  à Torremolinos les tapas sont à 1,50 l’unité.  Nous revenons fatigués.  Mon pédomètre indique que nous avons marché 7 kilomètres.  Nous voulions aller à un spectacle au Don Pedro ce soir.  Mais, nous réalisons que nous devons nous reposer pour être frais et dispos pour demain.
Photos d’Alora

Mardi, 18 février

Aujourd’hui c’est la fête de Jacques.  Nous commençons la journée par un beau soleil.  Nous profitons de ce beau temps pour aller faire notre marche sur la promenade.  Je dois me rétracter sur les cacas.  Il n'y en a plus.  Peut-être que quelqu’un a lu sur notre site…  Il y a plusieurs retraités espagnols qui marchent tout emmitouflés.  C’est comme ça qu’on les reconnaît.  Ils ont froid et c’est l’hiver pour eux.  On a su que les personnes âgées de ce pays ont beaucoup de privilèges et qu’on les traite bien.  Les boutiques qui bordent la promenade sont ouvertes et j’en profite pour m’acheter un chapeau de paille.  Ça attirera peut-être le soleil et la chaleur.  Il fait 17 degrés.  Le propriétaire de la boutique où j’ai fait mon achat, un français émigré sur la côte, nous informe que ça fait 20 ans que la Costa del sol n’a pas eu un tel froid.  Le mercure a baissé à 4 degrés.  Il nous dit qu’on a annoncé de la neige à Valence qui est a 600 km d’ici.  La Côte d’Azur française a eu aussi de la neige.  Bref le soleil et la chaleur se font timides.  Nous revenons à la casa et nous prenons le repas du midi sur la terrasse.  Jacques trouve enfin le bobo qui nous empêche de visionner les photos sur le site. À l’heure de l’apéro, nous allons chez Mado et André. Ils ont eu la gentillesse de nous inviter.  Nous partons pour le restaurant.  Tout est chaleureux.  Nous faisons la fête.  André a toujours le mot pour rire.  Il nous paie le digestif pour souligner l’anniversaire de naissance de Jacques.  Nous revenons à l’appartement pour manger le gâteau de fête. C’est ainsi que se termine cette journée d’anniversaire de Jacques.  Photos

Mercredi, 19 février

 Première journée de pluie depuis notre arrivée.  Mais quelle pluie!  Nous en profitons pour mettre à jour notre courrier électronique.  C’est impossible d’aller sur la promenade ce matin.  La  mer est déchaînée.  Cependant vers midi le soleil apparaît.  Nous sortons donc pour faire nos courses.  Vers 14 h 30, même scénario, la pluie reprend.  Vers 17 heures, nous devons nous rendre à une excursion qui nous conduira à Malaga.  Nous allons voir El Rancho.  C’est un spectacle mettant en vedette des chevaux comme vous pouvez vous en douter.  Ces chevaux sont dressés pour le spectacle.  Les cavaliers qui les montent leur font faire toutes sortes de figures comme des sauts.  Ils font des chorégraphies synchronisées avec de la musique.  Bref, tout un spectacle qui dure 1 h 30.  Nous revenons pour le souper à la maison.  Au bulletin télévisé, nous apprenons que notre pluie était de la neige dans les régions plus au Nord.  On voit Madrid avec ses 20 cm  de neige.  Comme les voitures et les camions n’ont pas de pneus d’hiver, on voit des sorties de route assez spectaculaires.  Les gens dans la rue marchent en souliers, sans bottes.  Ils  balaient la neige faute de pelles.  Ça fait 20 ans qu’il n’a pas neigé.  Décidément, nous sommes chanceux que le tout soit tombé en pluie.  Les nouvelles de la guerre ont fait trêve ce soir à la télé.  Le pire c’est qu’on annonce encore de la neige pour demain.  Je crois qu’ils comprendront pourquoi ils ont tant de snowbirds sur la Costa del Sol l’hiver.

Jeudi, 20 février

Ce matin le réveil est à 5 heures.  Nous devons partir à 6 heures pour une excursion à Jerez.  Il fait 10 degrés à cette heure.  Un bus doit venir nous chercher à l’hôtel.  Jerez est 265 km de Torremolinos.  Nous prenons la route qui longe la Méditerranée jusqu’à Gibraltar.  Nous pouvons apercevoir ce pic rocheux qui fait tant de controverses en Espagne.  Cette petite partie appartient à l’Angleterre depuis fort longtemps et l’Espagne voudrait bien la récupérer. Nous nous dirigeons donc vers le Nord-Ouest direction de Jerez.  Chemin faisant, la guide nous informe sur les chênes lièges de la région.  Lorsqu’on récolte le liège, on prend le tiers de l’écorce de l’arbre.  Il se régénère après 7 ans.  Cette région est valonneuse.  Nous y voyons les taureaux élevés pour la corrida.  En Andalousie, la corrida est considérée comme une forme d’art par les Espagnols.  Jusqu’à l’âge de 6 ans, ces bêtes vivent dans les champs.  Les meilleurs élevages sont à Cadix qui tout près de Jerez.  La corrida est l’art de faire passer le taureau le plus près possible du toréador, de l’affaiblir par la course et finalement de le déjouer et de le faire mourir.  Pour l’affaiblir, le toréador et ses 8 assistants stimulent l’animal pour déceler les points faibles.  Les picadores lui lancent des petites flèches dans la nuque.  Le toréador porte le coup final lorsque l’animal baisse la tête pour se déclarer vaincu.  Il le pique dans un endroit entre les vertèbres pour atteindre le cœur.  L’animal meurt en deux ou trois minutes.  Lorsque la foule est très satisfaite, on donne au toréador les deux oreilles et la queue.  À l’autre extrême, si la foule est déçue, on ne lui donne rien.   On ne tue pas toujours le taureau.  S’il est très courageux, on lui laisse la vie sauve et il peut finir ses jours en paix dans les champs. J’espère que je n’ai pas été trop sanguinaire avec ce récit.  Nous arrivons à Jerez prononcé Hérrez.  C’est le berceau du Xérès, des élevages de chevaux andalous et la musique flamenco.  Le nom du vin xérès a été changé par les Anglais en cherry parce que ceux-ci ne pouvaient pas prononcer correctement ce  mot.  D’ailleurs il y a plusieurs anglais qui sont propriétaires des vignobles de la région.  La guide nous informe qu’il y a trois sortes de xérès.  Le premier est le fino, le deuxième est le montilla et le troisième ol rosso.  Nous avons fait la  visite d’une cave.  La guide nous a expliqué pourquoi le xérès ne portait pas de date.  C’est qu’on mélange des vins de différentes années pour faire le cru.  Les Anglais absorbent à eux seuls 43% des exportations.  Après la visite nous avons dégusté les trois sortes de xérès.  Je veux juste vous dire que les vins font effet.  Ça chantait dans l’autobus après cette visite.  Nous sommes allés finalement à un spectacle de l’École royale andalouse d’art équestre.  C’est la deuxième plus belle au monde après celle de Vienne.  Elle compte 60 chevaux qui descendent  de chevaux arabes.  Entre l’âge de 2 et 9 ans les chevaux sont dressés et entre 9 et 15 ans ils font des spectacles.  Ils dansent avec des chorégraphies, ils font des sauts assez spectaculaires.  Le spectacle dure 1 h. 30.  Nous sommes finalement allés dîner dans un restaurant.  Le dîner fut décevant.  Une entrée de pommes de terre, carottes, oignons et ail.  Le tout baigné dans un vinaigre et d’huile d’olive.  Puis ce fut la paëla.  Décidément il y maquait des fruits de mer.  Le dessert, un flanc arrosé de crème brûlée.  Le tout bien arrosée comme il se doit.  Nous sommes revenus vers 20 heures, fatigués mais content d’avoir découvert une autre région de l’Espagne.
Nos photos de Jerez.

Vendredi, 21 février

La journée s’annonce belle.  Le soleil est au rendez-vous.  C’est quand même un peu frais.  On a eu un beau 18 degrés.  Nous avons fait nos courses et sommes allés prendre une longue marche sur la promenade.  On a mangé sur le balcon.  La mer était belle.  Jacques a travaillé fort pour ajouter 15 photos sur le site.  Hier soir, nous sommes allés à un spectacle de flamenco donné par cinq danseurs.  Cette danse vient des gitans qui se sont installés en Andalousie et un peu partout en Europe.  J’ai lu qu’il y avait quatre styles de flamenco. Cette danse vient des régions de Cadix, Séville, Malaga et Grenade.  Chaque ville possède son style de danse.  Donc, je ne sais pas ce que nous avons vu hier soir.  Je suppose que c’est le style de Malaga puisque Torremolinos y est très près.   Le flamenco avait été délaissé et est revenu en force dans les années 80 grâce à un gitan El Camaron.  La mode aux robes froufroutantes de style flamenco est redevenue très populaire.  Nous en voyons régulièrement dans les vitrines des magasins.  Tout compte fait ce fut une bonne soirée qui nous a donné le goût d’en connaître davantage sur cette danse.

Samedi, 22 février

Deuxième journée de pluie.  Décidément l’Andalousie n’aura pas à rationner l’eau cette année.  C’est le bon côté à la pluie.  La mer est houleuse.  C’est un indice de vent sur la promenade.  Je ne vois pas de marcheurs s’aventurer sur celle-ci.  Aujourd’hui ce sera une journée lecture ou farniente comme vous le voulez.  Nous avons la visite d’une connaissance qui habite le même hôtel que nous et nous lui montrons l’endroit de notre café internet.  Enfin la pluie se dissipe et nous pouvons déambuler dans les petites rues de la ville.  J’ai vu 11 degrés au thermomètre de la rue piétonnière de San Miguel.  En passant, nous avons remarqué que le litre d’essence que nous payons dans les 80 cents au Canada, et bien, ce même litre est ici à 1, 40 $.  Qu’en dites-vous?   Nous faisons des provisions pour un petit souper tranquille à notre hôtel.  Ce soir on pourra se rabattre sur la remise des César à TV5.

Dimanche, 23 février

La journée commence par un ciel nuageux.  Nous nous rendons comme prévu à Benalmadena pour le marché aux puces.  Mais voilà que celui-ci n’est pas très intéressant.  Nous choisissons d’aller voir un spectacle de danses donné par des écoles de flamenco.  Douze écoles présentent leurs élèves qui sont habillés de costumes traditionnels de toutes sortes.  Il y a des petites filles de 5 ou 6 ans et des élèves qui dansent comme des professionnels.  Vendredi, le 28, c’est la fête nationale de l’Andalousie et, pendant cette semaine, il y aura des manifestations quotidiennes, des spectacles avec de la musique et de chants traditionnels. Donc, nous suivrons de près ces activités.  En après-midi le soleil est revenu et nous en avons profité pour aller marcher sur la promenade.  La mer était déchaînée et les vagues étaient impressionnantes.  Jacques a pris quelques photos.  Nous avons marché plusieurs kilomètres aujourd’hui.  La journée fut bien remplie.  Nous revenons paisiblement à l’hôtel pour un petit souper intime.   Photos de Tivoli.

Lundi, 24 février

Encore nuageux !  Ce matin nous devons assister à une parade de danseurs  habillés de costumes rétro au centre de Torremolinos.  Comme c’est la semaine de l’Andalousie, il y a foule.  De plus c’est la semaine de relâche pour les écoliers.  Le défilé commence vers 10h. 30.  À l’avant, il y a une fanfare de cuivres et de tambours.  On joue : Y viva Espana.  On défile dans des voitures décapotables.  Nous supposons que des personnages politiques y sont assis. Tout à coup, une luxueuse Mercedes, qui transportent des personnages importants tombe en panne.  On rit, on siffle, on applaudit.  Le conducteur de la voiture lève le capot et finit par redémarrer.  On lui crie :”Olé”. Puis viennent les danseurs.  On tape dans les mains, on crie, on applaudit encore.  Les costumes sont froufroutants, de couleurs voyantes.  Le défilé se ferme avec un autre groupe de cuivres et tambours.  Nous allons au restaurant de tapas et on y rencontre Mado et André.  Ils prennent le café avec des amis.  Nous faisons quelques courses avant d’aller recueillir notre courrier électronique au café internet.  Nous revenons à l’appartement.  Comme nous avons notre portable il est facile de répondre à notre courrier.  Puis c’est l’apéro chez Mado et André suivi d’un souper chez Avenida.  Ce restaurant est fréquenté par les Espagnols qui sont friands de poisson.  Tout est délicieux et bien arrosé.  Nous revenons tranquillement à la casa.  Photos de la parade.

Mardi, 25 février

Ce matin, nous sommes réveillées par le bruit de la pluie.  Nous voulions aller au marché aux puces en plein air de Fuengirola.  C’est le plus gros de la région.  Je voulais faire un peu de shopping, acheter quelques souvenirs.  Ce n’est pas ça qui va nous empêcher d’aller faire quelques courses.  La pluie s’arrête temporairement et nous allons sur la San Miguel  pour magasiner.  Je fais quelques achats.  En revenant, nous trouvons curieux que les fleurs peuvent pousser par un temps pareil.  Les pensées sont trois fois plus grosses que celles que nous essayons de cultiver au Québec.  Les géraniums sont en bourgeons prêts à éclater et les fleurs sont le double des nôtres.  Après le dîner, nous décidons d’aller sur le toit de l’hôtel qui nous sert de terrasse.  Il y a du vent et c’est frisquet.  Nous remarquons que la piscine de l’hôtel est fréquentée et que deux petits garçons se baignent dans celle-ci.  Il est vrai qu’elle est chauffée mais tout de même.  Nous redescendons et une grosse pluie commence à tomber.  Nous pouvons dire que cette journée est bonne pour les réserves de pluie de l’Andalousie mais pas pour les touristes qui cherchent le soleil.

Mercredi, 26 février

Quel beau début de journée!  On se lève avec le soleil.  Notre balcon est situé du côté Est, et, comme le soleil plombe, je sors sur le balcon pour voir la température: il fait 21 degrés.  On déjeune et on sort marcher.  Il est 10 heures et, déjà, il y a déjà plusieurs personnes qui font comme nous et qui prennent le soleil.  Jacques va au café internet pour y recueillir le courrier et, moi, je vais au marché d’alimentation.  Nous revenons à la casa et nous remarquons que notre thermomètre indique 32  degrés au soleil.  On s’installe et on prépare un lunch avec du pâté de canard, du fromage, du pain croûté et un bon verre de vin.  Nous terminons le tout par des fraises, produit local, que nous dégustons depuis notre arrivée ici.  Vers 14 heures, un gros nuage arrive et commence à se déverser.  La pluie  tombe comme une douche.  Ça nous fait penser lorsque nous étions en Angleterre et, à chaque jour, nous  subissions une averse de ce genre.  C’est la fin de la belle journée.  Je sors mon livre de lecture et termine le livre de Michael Moore :  Mike contre-attaque.  Jacques s’amuse avec l’ordi.  Nous regardons TV5 qui présente une émission de deux heures sur les conséquences d’une prochaine guerre en Irak et les différents scénarios qui peuvent se produire. L’Espagne fait maintenant coalition avec l’Angleterre et les U.S.A même si les Espagnols sont contre ce conflit à 80%.  La pluie cesse donc vers 17 heures.  La journée se termine par une marche dans les environs de l’hôtel.

Jeudi, 27 février

Quelle belle journée ensoleillée!  Le soleil nous a gâtés de sa présence tout le jour.  Nous sommes sortis sur le balcon après le petit déjeuner.  La mer était calme et toute bleue.  Il y avait un peu de vent.  Nous avons décidé d’aller jusqu’au marché aux puces de Torremolinos.  Il faut dire que nous marchons beaucoup.  À ce jour mon pédomètre indique 80 kilomètres sans compter les fois où j’ai oublié de le porter.  Nous avons rencontré, par hasard, André et Mado qui étaient allés au même endroit.  Sur le chemin du retour nous avons fait route ensemble jusqu’au restaurant Paco.  C’est un petit restaurant de 4 tables seulement et très familial.  Le repas fut copieux et servi à la mode catalane i.e. cuit dans l’huile d’olive et bien arrosé de vin.  André a d’ailleurs arrosé toute la table pour fêter l’événement (il a répandu par mégarde son vin blanc qu’il n’aimait pas).  Nous sommes ensuite descendus sur le trottoir bordant la mer et sommes allés au nouvel appartement de Mado et André.  Ces habitués de la Costa del Sol viennent ici depuis 6 ans.  Comme ils connaissent l’endroit, ils achètent seulement leur billet d’avion et louent eux-mêmes leur appartement. De cette façon ils peuvent rester deux mois pour le prix d’un. Cette façon de faire permet de diminuer de moitié les frais de logement, par rapport à nous qui avons réservé avec une agence de voyages.  Pour être honnête, ils n’ont pas le service d’hôtel que nous avons, comme par exemple, le ménage quotidien. Nous sommes revenus à l’appartement vers la fin de l’après-midi, fatigués et contents de notre journée.

Vendredi, 28 février

Quelle belle température!  On se lève avec le soleil.  Il fait chaud et le mercure atteint les 28 degrés aujourd’hui.  C’est la fête nationale de l’Andalousie.  Nous allons jusqu’à la Place de la Révolution.  On y a installé un toit, il y a de la musique et on danse sur des airs folkloriques du pays.  Tous ceux qui veulent s’exécuter entrent dans la danse.  J’aurais bien aimé connaître ces danses car ces airs sont entraînants.  Tous les magasins sont fermés.  Nous revenons à l’appartement pour prendre le lunch sur le balcon.  L’idée nous vient d’aller prendre une longue marche jusqu’à Benalmadéna.  Ça fait une distance de 11 kilomètres.  Les terrasses sont pleines de gens qui prennent soit un verre ou un repas.  On en voit qui ont l’audace de se baigner.  La promenade est bondée.  On voit des personnes rougies par le soleil.  Nous revenons fatigués.  Après le souper, nous allons voir un spectacle de flamenco.  Ça fait trois spectacles que nous voyons de cette danse.  Chacun est présenté à sa manière.  Ce soir, cinq jeunes danseurs donnent le spectacle. Ils dégagent de l’énergie, tapent dans les mains et crient à la façon des gitans lorsqu’ils dansent.  Les costumes sont variés et beaux.  Nous étions avec Mado, André, Francine et Germain.  À la fin de la soirée, nous avons souhaité “Bon voyage” à Francine et Germain  Blanchet qui partent pour une semaine aux Îles Baléares.

Samedi, 1er mars

Encore une belle journée ensoleillée.  Nous avons juste une envie, c’est de sortir prendre l’air et profiter de la belle journée.  Je m’habille de short et T Shirt, je m’enduis de crème solaire et Jacques fait de même.  Nous prenons la direction de la San Miguel pour aller faire quelques courses et m’acheter un livre de lecture en français.  Oui! Oui!  Nous trouvons de la lecture française ici.  En plus des hebdos français, il y a deux librairies qui ont des livres de lecture en français.  Nous dînons sur le balcon.  Cet après-midi c’est la farniente sur la terrasse située sur le toit de l’hôtel.  Plusieurs s’y sont donné rendez-vous. Nous rencontrons des gens de La Prairie que nous connaissons et, par hasard, nous rencontrons des gens de Québec qui ont lu notre site internet.  Nous savions qu’ils étaient au même hôtel que nous.  Nous décidons de leur faire connaître notre café internet et l’endroit où nous achetons nos livres français.  Nous les accompagnons et nous faisons connaissance.  Tout cela est bien agréable. Nous rentrons pour le souper.  Ce soir,  ce sera la soirée pour répondre à notre courrier électronique et à rédiger notre journal pour notre site internet.

Dimanche, 2 mars

Ce fut un dimanche plein de soleil et de chaleur.  On se croyait en plein été avec un beau 27 degrés à l’ombre.  Comme chaque matin, c’est le même rituel :  Nous déjeunons, nous allons à notre site internet pour porter notre journal et recueillir notre courrier.  Pas un petit vent et il fait tellement chaud que nous marchons à l’ombre.  Nous revenons pour le dîner sur le balcon.  En après-midi nous allons à Malaga.  C’est la fin du carnaval et il y a une parade.  Nous nous dirigeons vers la gare de train, car nous avons choisi ce mode de transport cette année.  C’est très confortable et silencieux sans oublier que l’horaire est respecté.  À la gare, il y a un groupe de chanteurs finlandais qui chantent en attendant le train.  Ils sont habillés de costumes traditionnels et ils chantent à quatre voix.  Il y a comme un écho quand ils chantent et ça rend leurs chants plus agréables à entendre.  Nous arrivons à Malaga vers 14 heures. La parade est presque terminée.  Nous pouvons quand même voir quelques chars et plusieurs personnes déguisées.  Nous arrivons sur le site du carnaval où plusieurs groupes donnent leur représentation.  Il y a notamment un groupe “No a la guerra!“,  des groupes de chanteurs, d’humoristes et surtout tous ces enfants, adultes, et ados déguisés.  Les costumes sont beaux et décorés de plumes.  On se croirait au Carnaval de Rio.  Les gens participent aux différents spectacles.  On applaudit, on danse  avec les groupes.  C’est bruyant et on peut dire que les Espagnols sont expressifs.  Ensuite nous allons vers le port de Malaga où sont accostés plusieurs bateaux entre autres un bateau spécialisé dans les  croisières sur la Méditerranée.  Nous revenons sur nos pas pour nous diriger ensuite vers le centre de la vieille ville.  Tout est piétonnier et dallé de marbre.  Il y a plein de magasins et de café terrasses.  Nous voulons aller vers la célèbre cathédrale mais tout est fermé.  C’est dimanche et on ouvre aux messes seulement.  Je lis dans mon guide du routard que c’est une oeuvre énorme et inachevée de style Renaissance.  Elle fut construite en 1528 sur l’emplacement d’une mosquée arabe et fut achevée en 1782.  Ce sont des fonds pillés durant la conquête du Nouveau Monde qui permirent son élaboration mais les budgets vinrent à manquer rapidement et la seconde tour ne fut jamais mise en place. C’est pourquoi on la surnomme la manchote. Nous faisons le tour sans pouvoir y pénétrer.  Nous revenons paisiblement par le train jusqu’à Torremolinos.  Il fait encore chaud et les terrasses sont pleines à craquer. Nous sommes fatigués et contents de cette belle journée passée à faire des découvertes. Photos de Malaga et de son carnaval

Lundi, 3 mars

Quelle belle journée!  Le mercure a sûrement frôlé les 30 degrés aujourd’hui.  La mer est d’un beau bleu sans une ride.  Nous décidons de profiter de la journée, de lire en avant-midi et d’aller sur la promenade en après-midi. Nous marchons dans les rues avoisinantes lorsque nous entendons siffler et dire Hola !, (Salut !) encore un sifflement et encore Hola!  Mais qui nous nous interpelle de cette façon ? Jacques constate que c’est un gros perroquet, qui est dans une cage, à l’étage, et qui nous parle.  Je lui réponds.  Il a semble décontenancé.  Je n’ai sans doute pas l’accent espagnol !  Il a continue encore son manège lorsque nous nous éloignons.   Un peu plus tard, nous rencontrons par hasard, André et Mado  qui marchent  sur la promenade avec un couple de St-Bruno, des amies de bridge de Mado.  Nous profitons de la terrasse de Mado et d’André, puis, nous revenons à l’appartement. Nous arrêtons  pour déguster un sundae avant de rentrer.  Il fait encore 26 degrés à 17 heures.  Nous avons fait la sieste avant le souper.  En soirée, nous avons écouté le film “La bicyclette bleue”, vous connaissez le livre à succès de Régine Deforges ?  On dirait qu’on prépare la population à la guerre ou bien on veut leur faire réaliser ce que vit un peuple pendant la guerre.  Nous regardons le journal télévisé et c’est vrai que la guerre s’annonce pour bientôt.  C’est sur cette note que s’est terminée cette belle journée ensoleillée.

Mardi, 3 mars

Superbe journée.  Le soleil  brille de tous ses feux.  Ce matin, nous allons à Fuengirola pour le marché en plein air.  Nous prenons donc le train vers 9 h. 30.  Il y a un monde fou.  C’est difficile de déambuler dans les allées.  Il faut dire que c’est un très gros marché avec ses étalages de produits locaux allant des produits alimentaires en passant par la poterie, les vêtements, articles de cuirs etc.  Nous pouvons nous procurer la majorité des articles que nous recherchons.  Nous revenons à Torremolinos en début d’après-midi pour profiter du soleil sur la terrasse de l’hôtel.  André Duval arrive et nous faisons un brin de causette. Il nous invite à prendre l’apéro à son appartement.  André et Lise en sont aussi à leur deuxième voyage sur la Costa del Sol. Nous terminons cette agréable rencontre pour le souper à notre appartement. Après le souper, nous avons rendez-vous avec Mado et André à l’hôtel Mélia.  C’est un spectacle de danse donné par trois jeunes couples de danseurs qui s’exécutent sur des chorégraphies plus endiablées les unes que les autres.  Vient le moment où les danseurs font participer la foule.  Chaque danseur va chercher parmi les assistants un ou une partenaire.  Comme notre table était juste au côté de la piste, un danseur m’invite.  Je m’avance donc sur la piste en espérant que ce ne soit pas trop difficile à exécuter.  Heureusement, le jeune danseur a su me guider malgré mes faux pas.  C’est ainsi que cette belle soirée se termine vers 23 h. 30. La journée a été bien remplie.

Mercredi, 4 mars

Aujourd’hui le soleil brille encore.  Ce matin nous devons aller à Torrox, petite ville sur la Côte située à 100 km à l’est de Torremolinos. Nous y allons avec Monique et Jean Moreno, deux français retraités et installés à Benalmédena.  Ils ont laissé Paris et ont choisi le soleil de la Costa del Sol.  Nous nous sommes donnés rendez-vous coin avenue de la Costa del Sol et la rue San Miguel à 10 heures.  Nous avons fait route pendant une heure avant d’arriver à destination.  Pendant le trajet nous bavardons comme de vieilles connaissances.  D’abord, nous allons dans la partie ancienne de Torrox, un peu en retrait de la Côte.  C’est un petit village blanc comme nous les aimons.  Les maisons sont fleuries et ont accès à des petits patios aménagés comme si on ajoutait une pièce supplémentaire à la maison.  Des ruelles serpentent entre ces maisons blanches entassés où il est presque impossible d’y accéder en voiture.  Donc c’est silencieux et calme.  Comme le village est situé à flanc de montagne, les maisons sont en terrasses et la plupart ont une belle vue sur la mer.  Nous prenons des photos, nous visitons la petite église, nous marchons dans un petit marché couvert qui est si bruyant qu’il est impossible de s’adresser la parole.  Nos amis, les Moreno, bavardent à l’occasion avec des résidants. Puis nous rejoignons la Côte pour le repas du midi.  Nous mangeons face à la mer.  Tout est délicieux.  Nous terminons le tout par une marche sur la promenade qui longe celle-ci.  C’est beaucoup plus calme ici qu’à Torremolinos où le trottoir grouille de monde.  Nous revenons fatigués mais contents d’avoir fait cette expédition.  Nous retournons à l’hôtel et prenons un peu de repos avant de prendre un léger repas.  Le soir, nous allons à un spectacle à l’hôtel Don Pedro.  Nous passons la soirée avec les Arseneault, les Perrotta et les Duval.  Le sommeil ne tarde pas à venir lorsque nous revenons pour la nuit à l’appartement.  Nos photos de Torrox.

Jeudi, 5 mars

La journée commence avec quelques nuages qui se dissipent vers les 11 heures.  C’est notre dernière journée en Andalousie.  Nous nous proposons de nous reposer, de mettre des photos sur notre site internet et d’aller une dernière fois sur la promenade de Torremolinos.  Un dernier dîner sur le balcon.  Nous attendons une confirmation de vol et de départ de la représentante de voyage.  Nous voulons aller saluer Mado et André et échanger nos photos de voyage.  Nous prenons l’apéro chez eux et nous décidons de prendre le repas du soir ensemble au restaurant.  Nous allons chez Pizza-Mare.  Ce n’est pas un restaurant Pizza Hot, rassurez-vous.  Nous mangeons une pizza à pâte mince recouverte de fruits de mer avec un peu de sauce tomate et fromage.  On a mis l’accent sur les fruits de mer.  Comme ça nous ne nous sentons pas alourdis comme si nous mangions une pizza américaine.  André et Mado mangent une pizza au saumon fumé.  Nous arrosons le tout de bon vin.  Nous buvons aux belles vacances passées en sol espagnol et à notre retour en terre canadienne.  Il ne faut pas oublier que nous avons mangé aussi des frites cuites dans l’huile d’olive qui, en passant, ne nous laissent pas une sensation d’estomac chargé.  Jacques fait de la gourmandise et demande un dessert.  Je ne me souviens pas du nom, mais celui-ci est composé d’une pâte mince, de crème glacée et recouverte de chocolat.  Nous prenons le digestif, un schnapps sans alcool aux pêches pour les femmes et aux framboises pour les hommes.  Et pour terminer la soirée nous allons, encore une fois, voir un spectacle de flamenco.  Deux autres couples, amis des Couture, viennent nous rejoindre.  Nous rentrons vers 23 h. 30 contents de notre journée.

Vendredi, 6 mars

C’est la journée de notre départ.  Toute bonne chose a une fin.  Nous nous levons et comme  la plupart du temps, nous déjeunons vers 8 heures avec les nouvelles de radio-Canada sur TV5.  Puis nous commençons nos valises.  Antonio et Hélène viennent nous souhaiter un bon voyage.  Puis il y a André et Lise Duval qui font la même chose.  En sortant de l’Agua Marina les Goulet nous souhaitent aussi un bon voyage.  Nous leur disons que nous ramenons le soleil au Canada.  Ils ne sont pas d’accord !  Tout de même il faut partager… Comme nous couchons à Zurich, nous devons prévoir une valise pour ce soir et envoyer nos plus grosses valises en direction de Montréal.  Vers 11 h. 30, un taxi nous amène à l’aéroport de Malaga qui est situé à 10 minutes de notre hôtel.  Nous devons prendre l’avion à 13 h. 55, mais le départ est retardé à 14 h. 30.  Le vol de la Swiss Air dure 2 h. 10 et nous arrivons à destination vers 17h. 40.  À la sortie de l’aérogare deux joueurs de cors des montagnes jouent des airs.  C’est très impressionnant à entendre.  Je n’avais jamais vu cet instrument de si près.  Ça mesure environ 4 mètres.  Nous sortons à l’extérieur où une navette doit nous conduire à notre hôtel, le Welcome Inn.  Il n’y a pas de neige à Zurich et il fait 15 degrés.  Nous trouvons ça un peu frisquet.  Un détail nous frappe dès notre arrivée  : “Que c’est propre ici!  Pas de papier ou autre ordure par terre! Nous regagnons notre hôtel et nous trouvons encore que la propreté y règne.  Nous allons prendre le repas du soir vers 19 h. 30.  Ici on parle allemand car c’est la partie de la Suisse qui parle cette langue.  La Suisse a quatre langues officielles : le français, l’italien, l’allemand et le roman.  Ce qui suit, c’est une soirée calme à regarder la télé et à nous préparer à notre retour en sol canadien.

Samedi, 7 mars

C’est le grand départ.  Nous prenons notre petit déjeuner vers 8 heures.  Puis, nous décidons de faire une visite de reconnaissance aux abords de l’hôtel.  Ce matin c’est nuageux et le thermomètre indique un degré celcius.  Nous observons que les tulipes et les crocus ont déjà poussés. Nous poursuivons notre marche jusqu’à une petite église et essayons d’y pénétrer mais c’est impossible.  Nous remarquons une pépinière où on vend des fleurs et des plantes de jardin.  Un magasin d’alimentation est à proximité et nous y faisons quelques achats comme du chocolat aux noisettes et un œuf de Pâques en nougat.  Il est presque 10 heures et nous devons prendre la navette de l’hôtel pour nous rendre à l’aéroport.  Nous vérifions que nos valises sont bien à bord du vol Airbus 300 de Swiss Airline.  Il ne nous reste plus qu’à attendre le départ fixé à 12 h. 55.  Entre temps nous sommes soumis à d’autres vérifications de passeport avant d’entrer dans la zone sécuritaire des voyageurs.  On vérifie encore nos billets et nous devons encore montrer nos passeports pour y faire apposer un tampon nous permettant de monter à bord de l’avion.  Enfin le vol décolle avec une demi-heure de retard  à 13 h. 25.  Chaque dossier de siège de l’appareil est muni d’un petit écran de télévision et d’écouteurs.  Ceci nous permet de choisir un film à visionner ou de la musique à écouter ou de suivre l’avion pendant son vol.  Je choisis le film de Harry Potter 2 qui est parmi les 4 films disponibles. Le temps passe plus vite car, le retour, qui dure 8 heures se fait  de jour.  Il faut dire que c’est plus facile de dormir pendant le trajet Montréal/Zurich que l’inverse.  Nous reprenons le retard d’une demi-heure et arrivons à Dorval à 15 h. 10.  Le pilote nous annonce qu’il fait zéro degré celcius.  Nous voyons par le hublot de l’appareil qu’il n’y a pas beaucoup de neige.  Le commandant de bord nous avertit qu’il y aura une autre vérification de passeport avant de passer aux douanes.  Au total, on a vérifié 7 fois nos passeports avant de monter à bord de l’avion.  Nous revenons à la maison à 16 heures.  Nous revoyons Martin et Daniel après un mois d’absence.  Nicolas est à Londres où il vit en permanence depuis le 10 novembre dernier.  Je résiste au sommeil jusqu’à 22 heures.  Il faut dire que la journée du retour a duré 30 heures car nous reprenons les 6 heures perdues du départ.  Nous retrouvons notre chambre et notre lit.  C’est ainsi que se termine une aventure d’un mois en pays espagnol.  Nous savons que nous avons eu plusieurs lecteurs assidus.  Nous avons eu beaucoup de bons commentaires.  Merci de votre encouragement pour faire ce site qui nous a demandé une certaine discipline pour livrer la marchandise presque journellement.  Nous prévoyons faire un autre voyage l’an prochain pendant la même période.


Questions et renseignements utiles sur l'Espagne

 

1- Est-ce un pays sécuritaire pour les touristes, est-ce que certaines régions sont moins recommandées?

Le pays est sécuritaire, du moins sur la Costa del Sol et aux endroits que nous avons visités. Il ne faut pas exposer ses “richesses“ tels que bijoux et montres. C'est comme dans tous les pays. Les régions les moins recommandées sont le Pays Basque et parfois Madrid.
 

2- Peut-on manger dans les restaurants sans craindre de souffrir de la "tourista" ?

On peut manger sans danger dans les restos. Le poulet est excellent et les poissons aussi. La paella qu'on nous vend contient trop de riz comparativement au contenu de poisson et fruits de mer. Nous conseillons d'acheter de l'eau embouteillée car l'eau du robinet n'est pas bonne au goût. Nous la réservions pour le brossage des dents. Nous avons aussi acheté des fruits au marché des cultivateurs sans avoir de problèmes. (les fraises étaient délicieuses !)
 

3- Vous mentionnez que l'on peut acheter une bonne bouteille de vin pour quelques dollars. Qu'en est-il de la nourriture?

L'an passé, nous pouvions prendre 3 ou 4 tapas à deux et un demi-litre de vin et ça nous coûtait 10,00 $ canadien et c'était le midi. Cette année, à cause de la montée de l'euro on pense que ce sera 30% de plus. L'an passé nous avons eu l'euro pour ,90 alors que cette année ce sera ,63 environ. Cette année on m'a dit qu'il y avait des spéciaux à 10 euros par repas par personne et ça le midi. Ceci est pour repas complet.
 

4- Est-ce que les souvenirs sont dispendieux et y a-t-il des choses qui valent la peine d'acheter?

Pour ce qui est des souvenirs nous croyons que le cuir est un bon achat. Donc, souliers, sac à mains, ceintures, valises etc. Nous avons aussi rapporté de l'huile d'olive. Si vous êtes amateurs de fromages, il y en a de bons et à bon marché.
 

5- Puisque nous partons à la mi-février quelle température fait-il à ce temps de l'année? Doit-on s'apporter du linge d'été ou quelque chose de plus chaud?

La température de la mi-février se situe entre 18 et 25 degrés disons entre 10 heures et 16 heures. Le matin et le soir sont plus frais et on a besoin de chandails et de pantalons longs. De plus, si vous vous éloignez de la Côte, comme c'est plus élevé, c'est froid. Je me souviens de Séville où la température était de 6 degrés seulement. Il y a des stations de ski en activité non loin de la Côte.
 

6- Pouvez-vous nous donner une petite idée d'un budget journalier si l'on parle de nourriture, essence et visite de différents sites?

L'an passé il nous fallait environ 15 euros par jour par personne si on prenait nos repas au condo. Si par contre on prenait un des trois repas au restaurant, comme le midi, on peut dire que ça coûtait 20 euros par personne au minimum par jour. Le prix de l'essence est le double de celui du Canada. Comme les voitures sont petites et que les distances sont courtes, ce n'est pas beaucoup plus cher. Pour ce qui est de la visite des sites, je te conseille de te procurer Le guide du routard de l'Andalousie. Tous les prix y sont indiqués et on donne beaucoup de conseils judicieux aux touristes.
 

7- Existe-t-il des cafés internet et quel est le prix ?

Il y en a plusieurs dans les grands centres (ex.Torremolinos). Le coût est d’au moins un euro à l’heure. On aura intérêt à acheter d’avance, d’un seul bloc, le nombre d’heures requises pour diminuer les coûts. Voir Cafés Internet.
 

8- Quelle autre langue parle-t-on (anglais, français) ? Est-ce facile de communiquer et de se faire comprendre?

Pour ce qui est de la langue, on parle l'anglais et le français dans les grands centres comme Torremolinos, Benalmadena, Fuegirola mais dès qu'on arrive dans les petits villages il est bien de savoir se débrouiller pour l'essentiel. Je vous recommande le petit Berlitz de poche où il y a des phrases toutes faites et la prononciation y est indiquée. Si les gens ne vous comprennent pas, vous leur montrerez la phrase et tout rentrera dans l'ordre.

À connaître : savoir compter de 1 à 10.
Phrase utile : Deux coupes de vin rouge s'il vous plaît.
L'addition : (Il faut la demander quand on a terminé).
Au restaurant, habituellement, on ajoute le montant du service sur l'addition.
Merci, bonjour, salut...
 

Choses utiles à apporter

Des vêtements qui sèchent facilement.
Une mini corde à linge pour étendre le linge à faire sécher.
Un thermomètre pour vérifier la température extérieure.
Un cadran de voyage.
Une radio ondes courtes pour rester en contact avec radio-canada.
Une débouche bouteille.
Un ordinateur portable pour écrire ses messages dans le confort de son appartement.On pourra les transférer une fois rendus au café internet en utilisant des disquettes 3.5 po.
Prendre une adresse sur un site de courrier internet comme yahoo ou hotmail pour pouvoir y accéder facilement de l’extérieur.
 

Nous retournons sur la Costa del Sol cette année et ce du 7 février au 8 mars. Nous serons à Torremolinos à l'hôtel Aguamarina, plus près du transport en commun comme l'autobus et le train. Il y a beaucoup de spectacles auxquels nous n'avons pas assistés l'an passé. Pour le magasinage nous serons près de la rue San Miguel, rue piétonnière où il y a restaurants et magasins de toutes sortes ainsi que des cafés internet.

Cette année nous voulons prendre davantage le train et l'autobus et faire des excursions à deux contrairement à l'an passé où nous avons pris des tours organisés. On connaît davantage la région et on se sent plus sûrs.

Nous continuerons à écrire sur notre site et cette année nous apportons notre portable. La caméra numérique nous permettra de mettre nos photos au fur et à mesure de nos écrits. Nous le faisons pour que nos enfants, parents et amis puissent nous suivre et avoir de nos nouvelles.


Liens à d'autres sites sur le Web

Meteo de Malaga

Site d'un grand voyageur

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