Voyage en Espagne - Andalousie février 2002


 




Bienvenue sur notre site - Dernière mise à jour : 8 mars


Mardi le 29 janvier et mercredi le 30 janvier

Aujourd'hui, 29 janvier, grand départ pour l'Espagne avec arrêt d'une journée à Paris. Partis de Brossard vers 3 heures et 30 avec Lise, nous arrivons à Dorval pour apprendre que notre vol est retardé de 1 heure et 30. Donc le départ eut lieu a 9 heures 35 à la place de 8 heures et 10. Le 747 était bondé. Nous avons cependant dormis, car nous avons manqué le déjeuner. Arrivés à Paris, nous nous rendons à notre hôtel. Nous remarquons que Paris bénéficie d'un temps clément. Il fait 12 degrés et on a même planté des pensées à l'entrée de notre hôtel. Nous explorons les alentours. Le soir nous soupons au restaurant de l'hôtel " La jument verte" (Le joual vert !). Nous mangeons du loup grillé qui est un poisson. Nous nous couchons tôt pour pendre l'avion pour Malaga à 8 heures 45 le lendemain matin.

Jeudi le 31 janvier

Nous nous levons le lendemain et filons en vitesse pour le vol de Malaga. Le vol est agréable et nous arrivons à Malaga vers 11 heures 15. Il fait 20 degrés et c'est ensoleillé. On nous attend pour nous amener au Flatotel. On nous assigne l'appartement 112. Je suis décue, je ne vois que très peu la mer. De plus, le système de chauffage, une sorte de thermopompe fait un bruit inquiétant. Nous retournons à la réception pour demander un changement d'appartement. Nous expliquons la situation et on ous dit que tout est plein. J'insiste tout en étant polie. Finalement on nous donne la clé de l'appartement 105 et on nous demande de le visiter. L'appartement nous plaît et nous avons tout ce que nous voulons. La vue est sur la mer. Nous avons un grand patio de 4 par 6 mètres. Tout est en marbre. La chambre est magnifique. Enfin tout est beau. Dans l'après-midi, nos rencontrons des représentants de Jolivac, notre agence de voyage. On nous parle en français. Il faut dire que le français est presque absent ici. On parle surtout l'espagnol et un peu l'anglais. Donc les dictionnaires sont très utiles. En soirée, nous regardons TV5 comme à la maison. Cliquer ici pour voir nos photos de l'appartement.

Vendredi le 1er février

On est le premier février et on peut dire que c'est la journée de l'initiation à l'Espagne. Ce matin nous avons pris notre marche. Nous avons également pris le bus pour Benalmadena. Petite particularité : ici pour choisir les fruits et légumes, il est défendu de toucher. Alors on doit prendre un gant mis a notre disposition pour choisir ce que nous voulons.

Samedi 2 février

Depuis que nous sommes ici, nous nous levons assez tard et nous avons remarqué que le soleil ne nous aide pas puisqu'il se lève à 8 heures 30. Il fait très beau. Nous avons regardé le journal télévisé et c'était Michaele Jean qui présentait le bulletin de nouvelles. Nous avons remarqué que vous avez eu une tempête de neige et du verglas. Ben bon pour vous! Ce matin nous allons au gymnase pour faire de la bicyclette stationnaire et nous prenons la direction de Torremolinos pour aller sur la célèbre San Miguel ou il y a restaurants et magasins. Nous rencontrons plusieurs québécois, qui, comme nous profitent de leur retraite.

Dimanche 3 février

C'est dimanche et c'est nuageux! Je regrette les paroles que je vous ai dites hier car il fait a peine 17 degrés. Nous marchons aux alentours. Ici, en Espagne, dimanche est une journée ou les magasins sont fermés. Nous faisons donc notre lavage et nous préparons un bon petit souper pour deux. Le vin ici est plus qu'abordable. On peut avoir une bonne bouteille de vin pour 5 dollars. Quelle aubaine! Nous préparons une visite pour Mijas pour lundi. Nous fouillons notre routard et décidons ce que nous ferons le lendemain. Avant de finir cette journée, je voudrais vous donner quelques particularités de l'Espagne. D'abord, ici, il y a seulement les femmes qui sont obligés de porter le casque en moto. Que devons-nous penser de cela? J'ai pensé que c'était précieux et qu'il fallait le préserver. Je ne sais pas pourquoi les hommes ne doivent pas le porter...

Lundi 4 février

Aujourd'hui Mijas, petite ville blanche à flanc de montagne! Que c'est beau! La température frôle les 24 degrés. Nous mangeons du mérou a une terrasse. Nous visitons la ville piétonnière. Il y a deux églises typiques : l'une est dans une grotte et l'autre est au sommet de la montagne. Grâce à une agente de voyage, retraitée de Gatineau, nous avons pu aller dans un magnifique parc avec vue panoramique sur la mer et les montagnes. Nous avons pris plusieurs photos.

Mardi 5 février

Encore une belle journée! Nous sommes allés au gymnase avant la douche matinale. Nous prenons la direction de Torremolinos après le petit déjeuner. Nous allons sur San Miguel pour écrire sur notre site Internet. Nous allons dîner de saumon chez Antonio. En après-midi nous magasinons un tour à Grenade. Demain, nous irons voir l'Alhambra et ses jardins.

Mercredi 6 février

Nous nous levons tôt pour départ a 7 heures. Nous prenons le tour organisé d'Eurocosta guidé en 5 langues. C'est plutôt frais à Grenade avec ses 8 degrés. Grenade est à 1000 mètres au-dessus du niveau de la mer. Nous grelottons et pensons à vous avec vos -8 degrés de maximum. Nous visitons l'Alahmbra. C'est une forteresse arabe avec un palais. Elle fut construite au Moyen âge et c'est la seule qui date de cette époque et qui est restée intacte. En plus du palais il y a les bains, une mosquée, une forteresse et des jardins. Il y avait 2000 personnes. C'est le site le plus visité d'Espagne avec ses 2 millions de visiteurs chaque année. La visite dure 2 h.30 minutes et les groupes de touristes doivent être à l'heure. Tout cela assure le bon fonctionnement des visites. Nous avons visité l'Albaicin, un très vieux quartier arabe classé patrimoine mondial. Nous rentrons au bercail vers 7 heures le soir, fatigués mais contents de notre journée. A chaque jour nous faisons la connaissance de personnes intéressantes. J'ai l'occasion de pratiquer mon anglais. Demain nous prenons une journée mollo. Nos photos.

Jeudi 7 février

Nous avons des nuages et du temps frais en ce début de journée. Nous commençons avec le gymnase et comme c'est une journée dite mollo, nous faisons le lavage. Vous savez sans doute la lenteur de ces machines à laver européenne. Ca prend l h.30 minutes pour une simple brassée donc trois fois plus de temps qu'avec nos machines. L'avant-midi y passe. Le soleil revient vers une heure et nous permet de dîner sur la terrasse. Il fait au moins 20 degrés. Nous faisons la siesta et allons en ville pour de petites commissions. Demain nous allons à Benalmadena pueblo pour aller au marché aux puces et pour escalader en téléphérique la montagne.

Vendredi 8 février

Quelle belle journée! Le soleil est au rendez-vous. Le vent est presque absent. Aucun nuage à l'horizon. Nous prenons la navette de l'hôtel direction téléphérique. Ce dernier prend 20 minutes pour arriver en haut de la montagne. Il reste 60 mètres pour aller au sommet. Le sentier est aménagé avec une rampe et un escalier. La vue est belle. Nous voyons la baie et la Siera Nevada tout autour. Nous redescendons et allons au marché aux puces et achetons 5 kilos d'oranges. Nous faisons de petits achats. Nos photos.

Particularités du peuple Espagnol

1.On fume partout ici et c'est permis partout de le faire. 2. L'huile d'olive règne en maître dans tous les restaurants. On la retrouve baignant la viande dans notre assiette même si nous demandons une viande grillée. De plus elle est sur toutes les tables des restaurants. 3.On ferme les magasins tous les jours de 14 heures a 17 heures incluant les magasins d'alimentation, c'est la siesta. 4. Certains chauffeurs d'autobus conduisent à la Jacques Villeneuve et sont parfois peu aimables. Nous cherchons encore une carte des circuits d'autobus. De plus l'horaire des autobus est peu respecté. Voilà pour les commentaires. Nous aimons cependant le climat, la mer et toutes les découvertes que nous faisons.

Samedi 9 février

Nous nous levons tôt ce matin pour regarder le journal télévisé par TV5. Nous y voyons les nouvelles de radio-canada de la veille. C'est une belle journée, ensoleillée et fraîche. Ce matin, nous attendons un appel d'un couple d'amis Mado et André Couture de St-Bruno qui sont à Torremolinos. Ils y sont depuis jeudi soir. Après s'être donné rendez-vous sur San Miguel, nous allons dîner de tapas et de vin. Puis nous nous rendons chez eux pour le reste de l'après-midi. Avant le retour au Flatotel où nous demeurons, nous allons faire le marché. Il ne faut pas oublier que nous avons fait notre mise à jour sur notre site Internet. Avant de quitter Torremolinos nous voulions réserver nos voyages pour Séville et Nerja-Frigiliana mais le bureau de réservations est fermé. Nous reviendrons au début de la semaine prochaine. En revenant, pour le souper, nous regardons une émission de TV5 qui se déroule dans la ville de Québec. C'est très intéressant. On y voit les émissions de Jacques Lacoursière sur la vie en Nouvelle-France

Dimanche 10 février

Pariza (paresse) Encore une belle journée! Je me répète mais il fait beau. Nous passons l'avant-midi et prenons le dîner sur la terrasse de notre appartement. Nous y avons du soleil jusqu'à 2 heures en après-midi. Nous flânons et puis nous allons marcher sur la promenade qui longe la mer. Il y a des pêcheurs, des baigneurs et des personnes qui prennent du soleil. C'est une journée relax!

Lundi le 11 février

Nous nous levons avec le soleil. Ici, il se lève plus tard que chez-nous i.e. vers 8 h. 30. Je ne veux pas vous écoeurer, mais, il fait encore beau. Après le petit déjeuner et le gymnase, nous partons pour Torremolinos. Nous nous rendons chez Exotic Tour réserver nos deux excursions de la semaine i.e. Ronda Marbella et Séville. Puis nous nous dirigeons vers le club Internet pour faire une mise à jour de notre site et y ajouter la carte de l'Andalousie. Nous ne voyons pas Benaldena, mais je peux vous dire que c'est juste à l'ouest de Torremolinos. On pourrait dire que c'est la banlieue de Torremolinos. Puis nous dînons de pizzas espagnoles qui, soit en passant, sont différentes des nôtres. Nous sommes sur la terrasse. Nous voyons défiler les gens et nous voyons des "Elvis Gratton...". Nous reconnaissons les touristes des Espagnols. Ces derniers sont habillés en hiver et le sont d'une façon plutôt élégante. Quant aux touristes, ils sont peids nus, en short et dégustent jus d'orange, bière etc. Ils sont aussi plus âgés et habillés comme ... je n'ose le dire, mais un peu débraillés. Voilà pour les commentaires! Nous faisons quelques emplettes et retournons à notre "casa" en fin d'après-midi. Nous lisons notre documentation en préparation de notre sortie de demain. J'avais oublié: Jacques a trouvé un bon endroit pour acheter du fromage de chèvre et il en profite

Mardi 12 février

8:10 précises et le bus est là pour nous conduire à Ronda. Pour atteindre cette ville de 40 000 habitants, nous parcourons 44 kilomètres de routes en lacet. De plus nous grimpons à une altitude de 1100 mètres. Il prend 1 h. et demie au car pour y arriver. Ce chemin est situé en bordure de ravins, de montagnes de la Sierra Ronda. Le guide nous explique la forêt de pins rouges et les chênes, le marbre et les porcs nourris aux glands de chêne qui donne un jambon très particulier et fort coûteux. Arrivés à Ronda nous visitons l'église Santa Maria la Mayor, du 13 ième siècle et sa chapelle privée qui était celle de Charles Quint. L'autel provient de 70 kilos d'argent pris au Vénézuela et la partie supérieure de l'autel qui est en or provient du Mexique. Le guide, Pedro, s'aperçoit de notre accent du Québec. Il nous dit quelques mots en "joual". Je m approche et lui demande s'il connaît le Québec et lui de me répondre qu'il y a vécu pendant 18 ans car son père y a enseigné l'architecture à l'université de Montréal. Nous continuons vers l'arène où se font les corridas. Tout à coup, il attire notre attention sur des grilles en fer forgé datant du VII ième siècle et nous dit qu'elles ont été construites par les Arabes habitant la ville. Il poursuit en disant qu'elles protégeaient contre le vol pendant la siesta et avaient aussi comme utilité d'enfermer les femmes et que les maris gardaient la clé de la maison sur eux. Comme ça, on contrôlait bien les femmes. Un italien de notre groupe déclare :" Moi, j'ai donné la clé de ma maison à ma femme ...". Nous visitons l'arène et le pont séparant la ville en deux, et, ce pont enjambe un ravin de 102 mètres. Nous refaisons le même chemin au retour et allons à Marbella, la ville jet set des riches arabes en vacances et on dit qu ils viennent y oublier leur Islam. La Costa del Sol compte 65 terrains de golf et à elle seule Marbella en a 50. Cette région est appelée Costa del golf. Voilà pour la journée Ronda/Marbella. La température fut encore belle et agréable. Photos de Ronda.

Mercredi 13 février

Début de journée brumeuse. Nous nous reposons de nos émotions de la veille. Nous allons au gymnase puis nous faisons notre petit lavage. Vers midi le soleil dissipe la brume complètement. Nous partons pour Torremolinos. Nous mettons à jour notre site Internet. Nous magasinons un peu. Petite journée sous le signe du repos. Hasta luego!

Jeudi 14 février

C'est la St-Valentin! J'ai reçu des fleurs! André et Mado viennent nous rejoindre pour prendre le dessert. En avant-midi, nous sommes allés sur le bord de la mer. Il fait un temps radieux! Du soleil, pas de vent! Nous nous amusons à regarder les galets du bord de la mer. Nous en rapportons quelques-uns au condo. Nous passons un bel après-midi en charmante compagnie. Nous buvons de la sangria. Nous parlons de Ronda. Ils nous disent qu'il y a 325 courbes pour y arriver. C'est ce qu'on a pu constater. Nous soupons tôt. Nous devons nous coucher de bonne heure car demain le bus vient nous chercher à 6 h. 15 direction Séville. Photos de la promenade sur le bord de la mer à Torremolinos.

Vendredi 15 février

Lever à 5 heures! Nous partons direction Séville. Nous passons dans d'immenses plantations d'oliviers. Le guide nous explique que l'Espagne possède 300 millions d'oliviers et dit que chaque olivier produit 60 kilos de fruits et qu'il faut 5 kg d'olives pour fabriquer 1 litre d'huile d'olive extra vierge. Elle ajoute que l'arbre est en fleurs en mai et juin et que la production d'olives vertes se fait en octobre. En décembre c'est la récolte des olives qui mûrissent et deviennent noires. Avec ces olives on fait l'huile. Elle nous dit qu'il existe une cinquantaine de variétés d'oliviers et que l'Espagne en cultive une dizaine. Voilà pour les olives! Nous continuons en direction de Séville qui est à 230 kilomètres de Benalmadena. Nous visitons la cathédrale qui est la 3 e plus grande au monde après Rome et St-Paul de Londres. C'est richement décoré et le style est chargé. Le maître-autel possède à lui seul 1500 kilos d'or qu'on a pris dans les colonies d'Amérique. Le guide nous montre le tombeau qui est supposé contenir les restes de Christophe Colomb. On fait un tour de ville. Séville a 600 000 habitants et y abrite des consulats. On nous montre la tour d'or qui est l'endroit où on stockait l'or des colonies d'Amérique. Séville est dans les terres. Elle possède un port par le fleuve Guadalquivir qui débouche à Cadiz sur l'Atlantique. Donc Christophe Colomb est parti de là pour découvrir l'Amérique. Comme les Espagnols contrôlaient les mers à cette époque, il fallait obligatoirement passer par Séville en revenant avec tout chargement provenant d'Amérique. Les autres pays comme la France s'y conformaient. Puis nous sommes allés à Place de l'Espagne, avons visité l'ancien quartier des Juifs, Santa Cruz. Après le dîner, nous avons fait une croisière en bateau-mouche sur le Guadalquivir. Puis nous sommes revenus au bercail vers 7 h. 30. Aujourd'hui, il faisait 8 degrés à Séville. Nous étions habillés en conséquence. Quand nous sommes arrivés sur la Côte, il faisait encore 19 degrés. Photos de Séville.

Samedi 16 février

Journée nuageuse avec un peu de soleil en après-midi. On peut dire que ce fut une journée fraîche avec 17 degrés. Cet avant-midi, nous sommes allés faire une mise à jour de notre site puis nous rencontrons un couple connu à Ronda, Marie et Marcel. Nous sommes allés manger des tapas avec du vin avec eux. Ensuite nous leur avons montré où nous allions pour le marché. Puis nous sommes revenus tous les quatre à notre "casa". Nous avons pris le thé et nous avons parlé de tout et de rien. Bref, un bel après-midi passé en charmante compagnie. Ils sont partis vers 5 h. 30. Comme nous, ils prennent le bus. Nous avons donc attendu jusqu'à 6 h. 30. Pas de bus en vue. Ils ont hélé un taxi et 30 secondes après, le bus arrivait. Il faut dire que le service d'autobus est pourri ici. Il ne faut pas se fier aux horaires! Petite soirée tranquille à regarder le journal télévisé sur TV5.

Dimanche 17 février

Toute la nuit passée, le vent a sifflé. Il a sifflé si fort que j'ai eu de la difficulté à dormir. Mon Jacques, lui, ronflait à poings fermés. Ce matin, c'est frais. Il ne fera pas plus de 15 degrés aujourd'hui et c'est nuageux. Vers 2 heures, nous constatons qu'il pleut. Notre première pluie en sol espagnol. Il faut dire que la moyenne de jours de pluie pour février est de 6. J'espère que nous ne rattraperons pas tout ça cette semaine. Ce midi, nous avons décidé de dîner au condo. J'avais de la paella congelée achetée au marché. Le hic, est que je n'avais pas de riz. Donc j'ai remplacé par des pâtes. Je ne sais pas comment on appelle ce plat là, mais c'était bon. Nous avons accompagné de bon vin. Je ne me souviens pas si j'ai déjà mentionne la qualité des vins et leurs prix. Le vin le moins cher a le même prix que le lait. Nous pouvons boire un bon vin pour 2,30 euros i.e. 3,50 $. Il y a une telle diversité dans les magasins d'alimentation. Je crois que nous nous ennuierons de ces vins à notre retour au bercail. Cet après-midi, nous préparons notre sortie de demain en faisant de la lecture sur Nerja et Frigiliana. Demain c'est l'anniversaire de Jacques. Il rajeunira encore!!!

Lundi 18 février

Quelle journée! Tout d'abord c'est l'anniversaire de naissance de Jacques. Je lui avais acheté un blouson dans un magasin de sport samedi dernier. Ce matin il le portait fièrement! Donc ce matin nous partons pour Frigiliana et Nerja. Sur le trajet allant à Frigiliana, côte orientale, le guide nous explique les cultures que nous y voyons. Tout d'abord des champs d'avocats ( je ne sais pas le nom de l'arbre), de canne à sucre, de pommes de terre (3 à 4 productions par année). De plus, il y a une quantité impressionnante de serres où on y cultive les tomates et les fraises (nous en mangeons depuis une dizaine de jours). Nous avons laissé la ville et nous longeons la côte est de la Méditerranée. Il n'y a plus de buildings, rien que des maisons de campagne construites sur des montagnes, du sol et du roc rouge. Nous arrivons enfin à Frigiliana, petit village de 3 000 habitants à flanc de montagne. Toutes les maisons sont blanches. Etant blanches, elles sont plus fraîches l'été et de plus la chaux qui blanchit les maisons éloigne les insectes. Le guide nous explique que ce village date du XV ième siècle lorsqu'Isabelle de Castille, reine catholique, avait décidé d'éloigner les arabes de la région après la conquête par les catholiques sur les Arabes musulmans. La majorité des arabes de cette région ont été repoussés au Nord de l'Afrique. Ceux qui sont restés sont obligatoirement devenus catholiques et se sont réfugiés à Frigiliana. Ce petit village est tout à fait charmant avec ses ruelles et ses patios. Même en février, il y avait des plantes et des fleurs. Les terrasses étaient en fonction. Nous avons pris plusieurs photos. Puis nous sommes partis vers Nerja, petite ville de 18 000 habitants sur les bords de la Méditerannée. Là encore c'est une petite ville sans tours d'habitations. Les rues sont piétonnières. Nous y avons visité la petite église, fraîchement rénovée, et nous avons marché sur un promontoire aménagé appelé Place de l'Europe. Ensuite nous nous sommes dirigés vers les grottes. Ces grottes furent découvertes en 1959 par 3 étudiants marocains qui cherchaient des chauves-souris. Ces grottes se révèlent parmi les plus importantes d'Europe. Pour nous, ce sont les plus belles que nous ayons vues. Contrairement à celles déjà visitées, ce n'est pas froid ni humide. Il y a une multitude de stalactites et de stalagmites (une mesure 65 mètres). Ces grottes sont vieilles de 30 000 ans et on y habita jadis. A chaque été, la grande salle de la grotte principale est utilisée pour un festival de musique et de danse. Seul regret, l'éclairage n'est pas adéquat et ne permet pas de photographier. On ne peut bien voir tous les détails de la roche. Après cette visite nous avons dîné de paella et de sangria. Sur le chemin de retour nous sommes arrivés à Torremolinos. Nous soupons de tapas et de vin. Nous sommes rentrés et avons pris la tarte de fête de Jacques. Photos de Frigiliana et Nerja.

Mardi 19 février

Début de journée nuageuse. Aujourd'hui nous aurons 20 degrés de maximum. Je ne vous ai pas encore parlé de la végétation. L'arbre vedette est le palmier avec ses larges palmes. Il y a aussi le cactus qui pousse comme de la mauvaise herbe. Il peut être très gros et atteindre 2 mètres et plus. Il y a aussi des fleurs qui sont de plus en plus présentes. L'alysum, la chrysanthème sont des fleurs sauvages. L'hibiscus est un arbuste. Il y a en partout. Les orangers, les citronniers sont présents dans toutes les villes visitées. Ils sont là comme chez nous l'érable à sucre. Les fruits tombent partout sur les trottoirs et dans les rues. Ces derniers ne sont pas comestibles. On s'en servait il y a quelques années pour faire le cointreau mais maintenant c'est le schnaps qui est bu comme liqueur. Le schnaps est fabriqué avec une orange cultivée.
Remarques sur le peuple espagnol :1. Les femmes sont souvent vêtues de noir et Jacques d'ajouter de pantalons moulants. 2. Les Espagnols sont peu souriants. 3. Il y a souvent des déchets qui traînent un peu partout. 4. Les gypsies sont présentes un peu partout en Andalousie. Il y en a 300 000 en Espagne. Certaines vivent dans des grottes creusées à même la terre ou le roc. Souvent, lors de nos visites, ils veulent nous vendre des tiges de romarin ou des oeillets. 5. On a remarqué que les Espagnols ne sont pas stressés au travail. 6. Ils se couchent très tard et aiment bien manger et arroser le tout de vin ou autre boisson. Voilà pour les commentaires!
Aujourd'hui, petite journée tranquille. Nous profitons de notre patio et de la belle vue sur la mer.

Mercredi 20 février

Le soleil est au rendez-vous. Aujourd'hui nous allons rejoindre André et Madeleine après avoir fait notre mise à jour sur internet. Nous marchons la promenade et nous nous dirigeons au restaurant "El Patio". Nous y mangeons une dorade à la santé de Mario et Ghislaine Gervais de Brossard. Nous revenons et sur le chemin de retour nous rencontrons par hasard Marie et Marcel. Ce sont des retrouvailles inattendues. Jacques donne un petit cours d'internet à André. Nous pensons sérieusement à offrir nos services à une agence de voyages pour aider les Québécois ayant besoin d'aide pour faire parvenir leurs courriers électroniques. Nous revenons vers 5 heures et profitons de notre terrasse. La mer est bleue mais le vent est frais à cette période de la journée. Nous projetons nous coucher tôt ce soir car demain nous allons à Cordoue (Cordoba) et il faudra se lever à 5 heures.

Jeudi 21 février

5:15, lever et prenons la direction de Cordoue qui est à 200 km, de Benalmadena, où nous vivons. Sur le chemin, le guide nous informe des plantations d'amandiers, de caroubiers et de chênes lièges. Elle nous donne plus d'informations sur les oliviers. Il y en a à perte de vue. On apprend que l'arbre commence à donner des fruits à 7 ans. A 100 ans il est au maximum de sa production et il donne 250 kilos d'olives. On le coupe lorsqu'il a 300 ans. J'aimerais être un olivier !! Une petite parenthèse pour nous dire que les oliviers du Jardin des oliviers à Jérusalem ont 1000 ans et qu'ils sont protégés. Je voudrais plutôt être un olivier du Jardin des oliviers. Pour finir les informations sur les oliviers, elle nous dit qu'on fait des meubles très dispendieux avec le bois de ceux-ci. Le bois est dur et difficile à travailler. En plus des oliviers, on y cultive la vigne qui donne le sherry. Il y en a du sec et du doux, je veux parler du sherry. Nous avons fait l'expérience de l'achat de ce vin et nous avons été déçus. On l'a donné à des gens qui pouvaient l'apprécier. Quant au vin rouge, on le produit surtout dans le Nord de l'Espagne.
Elle nous parle enfin de Cordoue. Sa population est 300 000 habitants. En l'an 756, Cordoue est possession arabe et capitale de l'émirat (pouvoir politique) de Cordoue. En 926, c'est devenu la capitale du califat (pouvoir politique et religieux) de Cordoue. Vers l'an 1100, c'était l'une des villes les plus avancées en Europe. En médecine, on fit la première opération pour les cataractes. Cordoue possédait un très grand nombre de bibliothèques. On était très avancé en mathématiques (invention de l'algèbre) et en astronomie. On retrouve dans l'ancienne partie de Cordoue des ruelles très étroites en labyrinthes. Ceci à pour effet de donner de la fraîcheur en été puisque la température peut atteindre 45 degrés.
Nous avons ensuite visite la mesquita (la mosquée-cathédrale). Au départ les Arabes avaient construits la mosquée. Quand les catholiques ont pris possession de la ville, on a transformé la partie centrale de la mosquée en cathédrale. Ceci montrait que les catholiques étaient les nouveaux maîtres des lieux. Le reste de la mosquée fut conservé intact, ce qui prouvait un grand esprit de tolérance. Nous avons visité le quartier juif et la synagogue. Les juifs étaient commerçants de bijoux. Nous sommes revenus vers 7 heures, fatigués mais contents de notre journée à Cordoue (cordonniers, fabricants de chaussures).

Photos de Cordoue (Cordoba).

Vendredi 22 février

Le soleil est encore au rendez-vous. La mer est d'un bleu exceptionnel. Après le déjeuner nous sortons sur la terrasse. Nous prenons un peu de soleil avant d'aller au gymnase. Puis nous allons au marché aux puces de Benalmedena Pueblo. Commerçants, agriculteurs et artisans sont présents. Il y en a une foule à se piler sur les pieds. Nous faisons quelques emplettes et revenons au condo. Nous nous installons sur la terrasse et dînons vers 2 heures, à l'heure des espagnols. Puis c'est la siesta! Reste de la journée sous le signe de la détente.

Samedi 23 février

Il fait toujours beau! Nous partons pour Torremolinos faire une mise à jour de notre site internet et ensuite nous rencontrons Marcel et Marie pour aller dîner ensemble. Nous avions vu un restaurant très spécial où nous mangions du poisson tout en restant debout près d'un comptoir. Tout à fait espagnol! Au moment de payer la questa (facture), tout est bien pour nous. Cependant Marie et Marcel doivent payer 30 euros alors que nous pensions que c'était 9 euros qui étaient dus! Nous contestons la facture. Ils nous répondent en espagnol. Nous partons en étant sûrs d'être roulés. Nous allons ensuite au Sol Principito où logent Marie et Marcel. Nous prenons le thé. Nous soupons ensemble et revenons ensuite à l'hôtel en taxi. Ce fut une journée intéressante et agréable.

Dimanche 24 février

Quelle belle journée! Du soleil! Pas de vent! Et toujours ce fonds frais sous le chaud soleil. Nous voulons profiter au maximum de ce dernier dimanche en terre espagnole. Après le gymnase nous nous installons. Je n'oublie pas la crème solaire. Beaucoup de personnes sont sur les balcons et terrasses. J'entends un voisin nous interpeller. Il est deux étages au-dessus de nous. Nous nous sommes fait la conversation à l'arrêt d'autobus. C'est un francophone du Nouveau Brunswick qui a pris l'habitude de venir séjourner sur la Costa del Sol depuis quelques années. Nous dînons sur la terrasse. Vers le milieu de l'après-midi, nous allons sur la promenade qui longe la mer. Il y a beaucoup de monde. On se baigne, on fait la pêche, on prend le soleil seins nus. On marche plus d'une heure et on revient en pensant que nous reviendrons peut-être en Andalousie. Il y a tellement d'endroits qui méritent d'être visités en hiver. Si nous revenons, Jacques pense à apporter son émetteur-récepteur pour faire de la radio-amateur. Qui vivra verra!

Lundi 25 février

La journée s'annonce encore sous le signe du soleil. Il faut dire que la Costa del Sol a 60 jours de pluie par année. Jusqu'à date, nous avons eu un après-midi et une nuit de pluie. Ce n'est pas si mal! Aujourd'hui nous devions aller avec Mado et André à une parade et à un spectacle de flamenco. En rentrant de notre conditionnement physique, le téléphone sonnait. Nous avons répondu trop tard. Comme nous ne pouvons pas les rejoindre par téléphone nous avons dû laisser tomber. Dommage, ce sera peut-être pour une autre fois. Quoiqu'il en soit, nous sommes allés quand même à Torremolinos faire une mise à jour de notre site internet. Il faut que je vous raconte ce qui se passe souvent quand nous y allons. Comme internet intéresse les jeunes et les Américains (c'est ce qu'on dit ici), il y a souvent des jeunes qui s'y donnent rendez-vous et viennent jouer à des jeux sur ordi. Ces ados crient et parlent fort sans que le responsable du local n'intervienne. Il est quelquefois difficile de se concentrer. Souvent des québécois, comme nous, essayons d'intervenir discrètement mais peine perdue. Ils sont tout enthousiastes à leurs découvertes et à la passion du jeu. Les jeunes adultes espagnols viennent sur des sites pornos et affichent des images qui nous font rire. On sait que les Espagnols sont extravertis. Lorsque nous prenons l'autobus et que celui-ci est occupé en majorité par des espagnols, on parle fort, on discute et nous les Nord-américains parlons discrètement et gardons le silence. J'ai déjà pris l'autobus et le métro à Montréal et c'est presque silence. Ah! ces latins! Quelle différence!
Nous sommes rentrés en fin d'après-midi. Ce matin nous avons eu la confirmation de notre départ pour jeudi le 28. Nous faisons Malaga-Paris de 12:10 à 14:40 h. puis nous partons de Paris à 16:20 h. pour arriver à Montréal à 17 h. 45. Ça veut dire que les vacances achèvent!

Mardi 26 février

Une autre belle journée ensoleillée. Nous commençons à avoir un beau "tan". Aujourd'hui, nous avons décidé d'aller à Benalmadena Pueblo. Nous demandons à la réception de l'hôtel quel autobus prendre et où le prendre. On s'installe donc en face de l'hôtel sous un soleil ardent. Après une heure d'attente, nous décidons d'y aller par un autre chemin et de prendre deux autobus différents. Le trajet du premier autobus va bien, mais quand arrive le deuxième autobus ce dernier est bondé. Tous les sièges sont occupés et l'allée centrale également. L'autobus doit grimper un chemin sinueux et escarpé. On finit par arriver après 20 minutes de trajet. Nous ne sommes pas fâchés de descendre de cet autobus. Il est déjà plus de midi et nous allons manger des tapas et notre demi-litre de vin rouge. Il fait beau et nous décidons de déambuler dans le petit village. Nous nous rendons à la place centrale qui est magnifique et calme. Les touristes se font rares. Nous nous rendons visiter un mini château de style Byzantin, Romain et Gothique datant du 15 ième siècle et un musée où on peut y voir des vestiges de fouilles du Mexique, du Nicaragua, de l'Equateur et du Pérou. Nous revenons par le même autobus. Il est encore plus bondé que le matin. Nous devons descendre la route sinueuse. J'ai peur que les freins manquent. J'entends grincer les freins à chaque arrêt. Nous parvenons enfin à destination sains et saufs et pas fâchés d'arriver à notre casa. Nous soupons légèrement et regardons le journal télévisé. Photos de Benalmadena Pueblo.

Mercredi 27 février

8:05, le soleil se lève et nous promet encore une belle journée. Hé oui! C'est notre dernière journée! Nous allons faire une dernière mise à jour de notre site et nous bouclons les valises. En terminant laissez-moi livrer mes impressions sur cette partie de pays que nous venons de découvrir. Je dois tout d'abord dire que je trouve que le climat est fort agréable en hiver. Ce coin de pays a une économie montante sans contredit. La construction est abondante et il y a des grues partout sur la Côte. On peut dire qu'il y a des milliers de nouveaux appartements en construction. Ce qui est dommage c'est que le paysage en souffre. L'été, ce doit être l'enfer au plus fort des touristes. On nous a dis qu'on se pilait sur les pieds. De plus l'eau se fait rare. Un communiqué dans notre salle de bain nous dit que les coûts de l'eau sont dix fois plus élevés que dans le reste de l'Europe et on nous demande d'y faire attention par le nombre des serviettes données au lavage. Je me demande bien quelle sera la situation quand tout sera construit. De plus il y a 65 terrains de golfs qui doivent demander beaucoup en eau. On veut que tout soit vert donc on arrose parterres et fleurs. Voilà pour ce problème
Quant aux espagnols, ils ont recouvré depuis 1975 (mort de Franco et arrivée de Juan Carlos) la monarchie parlementaire. Ils ont recouvré leurs libertés d'expression i.e. liberté de presse. On peut également s'exprimer via le théâtre et les arts. La liberté politique est revenue puisque Franco était dictateur et ne permettait pas l'existence d'autres partis politiques. La liberté de religion fut donnée car pendant les 40 années de dictature de Franco, on était obligé d'être catholiques. Tous ces interdits disparus ont permis au peuple l'épanouissement nécessaire à une meilleure santé économique. La participation à la Communauté européenne est sans doute un grand apport à ce pays.

Je ne voudrais pas oublier de dire que nous avons vécus d'agréables moments avec quatre québécois: André et Mado de St-Bruno et Marcel et Marie de Sillery. Ils sont venus combler des bons moments de notre séjour. Je mentionne également les guides qui nous ont fait visiter tous les endroits choisis. Ils étaient compétents et bien préparés. Nous avons appris beaucoup avec eux. Je ne veux pas oublier tous les bons vins, fromages, poissons, les excellents repas en particulier des tapas que nous avons découverts et qui font partie de la culture espagnole. Il y a aussi le panorama sur la Méditerranée que nous offrait notre condo et le confort dont nous avons profité. Merci à Lise Gagnon, notre agent de voyage, qui nous a permis de faire ce beau séjour en Espagne. Tout ceci a rendu notre séjour fort agréable.

En terminant, nous voulons remercier tous ceux qui nous ont lus et qui nous ont encouragés par l'envoi de courrier électronique. Nous compléterons notre site par l'ajout de photos dès notre retour en sol canadien. Nous terminerons le tout en vous racontant notre retour à Montréal via Paris.

Jeudi 28 février

Hé oui! C'est ce matin le grand départ. Nous nous levons vers 7 heures car un taxi doit nous amener à l'aéroport de Malaga à 9 h. 45. Nous remettons les clés de notre condo et réglons le compte de téléphone. Nous avions utilisé une carte d'appel pour les appels à Montréal. Il ne nous restait plus qu'à payer pour les autres appels. Vous savez sans doute que tous les appels sont facturés en Europe et le sont à la minute comme un interurbain. Ce n'est pas comme ici alors que nous payons un forfait mensuel pour les appels locaux, peu importe le temps passé au téléphone. Que nous sommes chanceux!
À l'heure dite un taxi (Mercedes) arrive pour nous prendre. Je dois dire que les taxis bénéficient d'un bon salaire. Tous les taxis que nous avons pris étaient propres. Je fais encore un encart en parlant de propreté. C'est au sujet des sanitaires: ELLES SONT PROPRES! Je dois avouer que j'y attache une grande importance.
Un petit renseignement en passant quant aux nombre te touristes cet hiver sur la Costa del Sol. Plusieurs personnes nous ont dit que l'achalandage avait baissé de 50%. On a su que la France avait le même problème. Les Américains ne voyagent moins en dehors de leur pays. On est inquiet de l'été qui s'en vient.
Nous arrivons finalement à l'aéroport. Le départ était prévu pour 12h.10 mais le commandant de bord a demandé un vol sécuritaire. Ce qui veut dire qu'ils ont dû passer tous les bagages au rayon X. D'autres commandants de bord ont eu la même idée. Ce qui a eu pour effet de retarder le vol de 1 h. 20, donc départ à 13:30. Notre correspondance à Paris est à 16h.20 et le vol dure 2 h. 15. Petit problème! Comme nous étions une trentaire de québécois à avoir le même problème, Air France nous a réservé une navette à la sortie de l'avion vers 15h.40. On nous a donné une carte d'embarquement, on a noté le numéro de nos valises afin qu'elle nous suivent à bord de l'avion en partance pour Montréal. On s'installe maintenant pour 7h 30 de vol. Aujourd'hui, c'est une journée de 30 heures puisque nous reprenons les 6 heures perdues au départ. Le vol se fait correctement. Nous arrivons à Dorval à 18 h. 30 avec un retard de 45 minutes. Les enfants étaient au rendez-vous avec la surprise de Nicolas et Jing. Nicolas était en "spring break" pour la semaine.
Voilà qui termine notre aventure en Andalousie. Pour tout commentaire ou renseignement, n'hésitez pas à nous écrire à notre adresse électronique.


 

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